La société inca vers 1500 : à la découverte d'une nouvelle société sédentaire.

Dans la présente séquence didactique, les élèves de 3e année sont invités à commencer leurs apprentissages des sociétés amérindiennes vers 1500 par l'étude de la société nomade algonquienne. Cette étude constitue un prélude menant à la découverte de la sédentarité iroquoienne dont l'objet final dans l'année scolaire est de se conclure par une rencontre entre les deux peuples où la complémentarité des échanges vient éclairer les adaptations respectives au territoire. Dans l'activité qui ouvre cette séquence, soit le propos de l'activité présentée ici, la compréhension de l'organisation algonquienne est introduite par un questionnement sur le rôle des hommes et des femmes dans cette société. [Source : site web de l'Université Laval]

Cette activité propose aux élèves de s'intéresser aux différences entre les sociétés micmaques et inuite vers 1980 par le bais de leurs réalités culturelles. Deux groupes sont formés pour représenter chaque société dont chaque membre jumelé par thème de recherche fait connaître un aspect culturel à la classe entière qui doit se prononcer au final sur les différences et points communs. Documentation à l'appui, les élèves spécialistes de leur sujet ont pour mandat d'ouvrir à la diversité leurs camarades par la promotion d'un trait culturel de leur société. Ces promotions sont soutenues par des cartes postales rédigées et figurées par les élèves, répondant à une commande issues de communautés autochtones sceptiques à l'endroit des jeunes québécois sur leurs connaissances de leurs réalités sociales. Ce défi posé aux élèves inclut notamment la capacité de synthétiser l'information médiagraphique ou bibliographique recueillie en distinguant bien l'essentiel de l'accessoire ainsi que l'aptitude à une argumentation efficace. [Source : site web de l'Université Laval]

Cette SAÉ s'adresse aux élèves de 6e année. De façon plus précise, certaines compétences ont été ciblées à l'aide du Programme de formation de l'école québécoise ainsi que de la Progression des apprentissages. Un guide d'usage a aussi été conçu pour les enseignants qui désirent utiliser cette SAÉ et s'approprier le contenu théorique de manière à mieux l'exploiter en classe. La formule consiste à exploiter les réalités culturelles de la société québécoise vers 1980, soit les moyens de communication, les métiers, la mode, la consommation et les divertissements. Afin d'en comprendre l'origine, les réalités politiques, économiques et sociales seront soulignées en arrière-plan. D'abord, une enquête sera réalisée par les élèves auprès de leurs parents et de leurs grands-parents concernant les différentes réalités culturelles de la société de 1980. Cette enquête servira de point de départ pour chacune des périodes. Ensuite, par le biais de différentes stratégies d'enseignement, les élèves en apprendront davantage sur chaque réalité culturelle qui fera chacune l'objet d'une période. À la fin de celle-ci, le cahier de l'élève sera utilisé pour intégrer les notions apprises. Finalement, la dernière période de cette SAÉ sera consacrée à la rédaction d'une journée typique de la société québécoise vers 1980 dans laquelle les élèves devront transférer les apprentissages réalisés. [Source : site web de l'Université Laval]