McDonald's ou Subway : choix judicieux.

Avec le soutien des enseignants, les adolescents sont capables de porter un regard critique sur ce que l'industrie agroalimentaire leur présente comme produits, sur les stratégies publicitaires que cette industrie utilise pour les convaincre d'acheter, sur les conséquences de la production intensive et de la distribution d'aliments transformés sur l'environnement et sur la santé, et sur certaines incohérences entre l'offre alimentaire de l'industrie et les recommandations du guide alimentaire canadien. Les élèves eux-mêmes peuvent alors imaginer de nouvelles voies pour une alimentation plus saine et qui respecte l'environnement et tous les êtres vivants. [Source : site web de l'Université Laval]

Nourrir les animaux en toutes saisons ne se justifie pas. C'est surtout pendant l'hiver, lorsque les ressources alimentaires se font rares ou sont cachées par la neige que la nourriture offerte à ces animaux leur sera utile. Cependant, la distribution de nourriture aux animaux peut favoriser leur concentration et leur multiplication anarchique, ce qui engendre des salissures importantes et une dégradation de la qualité de l'environnement urbain. Cette pratique peut s'avérer beaucoup plus problématique dans le cas de canards et autres oiseaux d'eau dont l'accumulation de fientes dans l'eau de baignade occasionne la prolifération de germes pathogènes, en quantité importante, susceptibles de transmettre des maladies à l'homme. Le projet consiste à élaborer un communiqué qui explique les mesures devant être prises pour gérer la nourriture offerte aux canards par les humains dans un milieu urbain et ainsi empêcher que la pullulation de ces animaux soit susceptible de causer une nuisance ou un risque de transmission de maladies à l'homme ou à l'animal. Les élèves doivent faire usage des concepts prescrits pour appuyer la réglementation proposée et structurer leur communiqué sous forme de vulgarisation scientifique. Une attention particulière portera sur les impacts de cette réglementation sur l'environnement. [Source : site web de l'Université Laval]

Le but de l'expérience est de comprendre que les recettes culinaires peuvent comporter un processus de fermentation. Dans ce cas précis, le protocole est vraiment une recette! L'élève réfléchit sur la raison d'être de chacune des étapes de la recette pour comprendre les phénomènes en cause. Les recettes proposées demandent des périodes d'incubation, ce qui permet d'insérer des temps où l'élève explore l'information entre les manipulations. Ainsi, le temps de réflexion permet de comprendre chacune des étapes et cela devrait paraître dans le portfolio et dans le rapport de laboratoire. Comprendre les interactions physico-chimiques d'une recette culinaire fait réfléchir sur les aspects techno-scientifiques d'une action quotidienne. Des aspects de salubrité peuvent être vus dans l'expérimentation et peuvent faire partie du rapport de laboratoire ou du portfolio. [Source : site web de l'Université Laval]